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Une stagiaire en journalisme de 19 ans réussit le Job Dating pour devenir professeur des écoles

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Une récente enquête menée par une stagiaire du journal Le Parisien au sein de l’académie de Versailles a mis en lumière les inquiétudes quant au niveau d’exigence du recrutement des enseignants contractuels. La jeune stagiaire en journalisme, âgée de seulement 19 ans selon le site MediaAvenir (information à vérifier), s’est fait passer pour une candidate lors d’un JobDating et a reçu une réponse positive pour devenir professeure des écoles après un entretien de seulement 20 minutes.

Cette situation soulève des questions sur les critères de sélection utilisés par l’éducation nationale, qui semble être confrontée à une pénurie d’enseignants au point de réduire drastiquement ses exigences pour pourvoir les postes vacants.

La jeune stagiaire a pris l’initiative de se faire passer pour une candidate à un JobDating dans le but de réaliser un reportage sur le processus de recrutement des enseignants contractuels. Elle a réussi à obtenir un entretien de 20 minutes avec un représentant de l’académie de Versailles, bien que ses compétences en pédagogie et en gestion de classe soient inexistantes.

Quelques jours après l’entretien, la stagiaire a reçu un mail de l’académie l’informant qu’elle avait été acceptée et qu’elle pouvait commencer à travailler en tant que professeur des écoles en maternelle ou élémentaire dès la fin de l’année.

Le cas de cette stagiaire-journaliste soulève des interrogations quant au niveau d’exigence actuel pour devenir professeur des écoles. Alors que la pédagogie et la gestion de classe sont des compétences essentielles pour assurer un enseignement de qualité, il est préoccupant de constater qu’une personne sans expérience ni formation adéquate puisse être embauchée aussi facilement.

Cette situation met également en évidence la pénurie d’enseignants à laquelle est confrontée l’éducation nationale. Face à un manque criant de personnel enseignant, il semble que l’académie de Versailles ait dû baisser ses exigences de manière significative afin de pourvoir les postes vacants. Cette approche a des conséquences directes sur la qualité de l’enseignement et soulève des préoccupations quant à l’avenir de l’éducation en France.

L’embauche d’enseignants sans compétences pédagogiques adéquates soulève des inquiétudes quant à l’impact sur l’éducation des élèves. L’enseignement est une profession qui nécessite des compétences spécifiques pour assurer le développement académique, social et émotionnel des élèves. En engageant des enseignants sans une formation adéquate, on risque de compromettre la qualité de l’enseignement et de léser les élèves.

Il est primordial de garantir des standards élevés dans le recrutement des enseignants, en veillant à ce que les candidats possèdent les compétences nécessaires pour exercer cette profession exigeante. Il convient d’investir dans la formation et d’encourager les vocations pour assurer un enseignement de qualité et préparer les élèves à un avenir prometteur.

Article Le Parisien qui relate cette information


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16 réflexions sur “Une stagiaire en journalisme de 19 ans réussit le Job Dating pour devenir professeur des écoles

  • Jacques Celere

    Comme quoi… tout le monde peut faire votre job.

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    • Ne sois pas aigri Jacques, ce sera juste encore pire mais il ne faudra pas se plaindre après.

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    • Salim Touafchia

      Non au contraire. Pour faire une école de journalisme, elle a un très bon niveau d’étude, donc ce n’est pas n’importe qui.

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  • C’est n’importe quoi les journalistes raconte que des bêtises ils ne prennent que des bac plus3 (licence) pas moins, avec copie du diplôme obligatoire. Et si les profs bac plus 5 pouvaient calmer leurs aigreurs cela arrangerait tout le monde. Si les conditions ne vous conviennent pas dû à vôtre niveau d’études la porte est grande ouverte surtout quand ont voit le nombre d’entre vous qui êtes détestable avec les enfants , les nouveaux ne sont pas responsables des résultats scolaires actuels contrairement à vous, à pardon c’est sûrement les élèves le problème où les parents. La maîtresse de ma fille est contractuelle elle est très bien, gentille, avenante et les enfants aiment la voir chaque jours. Le programme est fait sans stress ni amertume sa nous change de ces surdiplomer imbuvable et irascible avec leurs tonnes de devoirs. Donc je dis bienvenu à ces nouveaux remplis d’espoir.
    Ps :pas besoin de corriger mes erreurs si vous saigner des yeux 🤷‍♀️

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    • Clement Patrick

      Toutes ces fautes d’orthographe !!
      Je comprends mieux le dénigrement envers les profs

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      • Comme quoi les profs bac plus5 c’est pas la solution… 🤣

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      • Vous êtes au courant que les profs agrégés en externe n’ont pas non plus de connaissances pédagogiques ni de gestion de classe ? Y’a toujours eu des contractuels faut arrêter de s’imaginer qu’on puisse avoir que des profs master meef + concours. On apprend juste les bases de pédagogie en meef, tout le reste s’apprend sur le tas. 60 ans en arrière on était instit avec juste le bac. Après je pense qu’une formation ne ferait pas de mal à cette stagiaire en journalisme mais pas besoin de faire deux ans à l’inspé pour être contractuel…

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        • Il y a 60 ans les instituteurs dont ma belle mère faisait partie avaient deux années de formation très solide à l’école normale après l’obtention d’un bac qui correspondait à une licence d’aujourd’hui. Car vous ne pouvez plus mettre devant les élèves un bachelier de nos jours ne connaissant les rudiments de la grammaires française et le calcul élémentaire. Et c’est un vieux professeur agrégé à la retraite qui vous le dis. Et pour votre gouvene bien sûr il y a toujours eu des maîtres auxiliaires mais il y avait jadis aussi plusieurs candidats pour un poste aux concours parce que le métier attirait les meilleurs élèves d’une classe d’âge.

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    • Quelle agressivité…. Vous faites quoi comme travail chère madame ??? Vous trouvez donc normal qu’une personne sans aucune expérience puisse prendre une fonction d’enseignant sans aucun diplôme ? Moi cela m’inquiète beaucoup. Normal que les profs diplômés soient aigris. C’est une profession qui nécessite un certain niveau de compétences… Surtout pour faire face au manque d’éducation des parents qui prennent l’école comme un produit de consommation comme un autre et qui se ressent dans le rapport des enfants avec l’école.
      Je n’aimerais pas avoir vos enfants dans ma classe !
      D’ailleurs, pourquoi ne vous êtes vous pas proposée puisque vous avez l’air de bien connaître notre beau métier !

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    • Proposez votre candidature, vu votre niveau de français, vous avez le profil. Bien sûr que c’est agréable pour les enfants d’avoir une gentille animatrice qui ne leur demande rien au lieu d’un professeur exigent. Le résultat quand on ne se soucie que du petit confort de son enfant au lieu de penser à l’avenir de son pays est l’effondrement de la civilisation et de la culture.

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  • Faudrait commencer à porter des plaintes contre tous ces articles visant à dévaloriser les enseignants. Vous n’avez pas dautres sujets???? !!!!

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  • Mettre en exergue les difficultés spécifiques de cette académie c’est faire preuve d’un peu de mauvaise foi. Tous les enseignants savent pour quelle raison cette académie en particulier fait fuire tous les enseignants !

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  • Salim Touafchia

    Apparemment cette jeune apprenti journaliste est brillante car à 19 ans elle a son bac avec probablement mention TB car elle a pu integres une école de journaliste ( très difficile d’accès) , et a su ce faire recruter, donc même si le recruteur n’a pas repéré l’imposteur, il a bien fait son job. Même si cette article veut nuire au recrutement de prof d’école de l’EN dans les zone en pénuries, il relève en realité que les exigences sont respectées, et que contrairement au idées reçu véhiculées par ce genre d’article, non tout le monde ne peut étre recruté CQFD

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    • Je ne suis aucunement agressif envers les professeurs bien veillent envers leurs collègues est élèves heureusement ils sont nombreux. Ce qui me dérange c’est le dénigrement constant des recrutement de contractuel qui de mon expérience valent souvent les fameux bac+5 dont tout le monde parle. En ce qui concerne mes enfants ils sont élevés dans le respect de l’adulte et de l’école d’ailleurs ils ont la chance d’avoir de bon professeurs humain et humble dans leurs façon d’instruire au mieux tous leurs élèves. Par contre il me semble que de ce côté là vous n’êtes pas un exemple moi je suis pour le recrutement et je pense que cette profession est très belle surtout quand elle est faite par des personnes de bonne volontés . Je ne postule pas car évidemment avec mon orthographe je ne serai pas un atout pour tout ces élèves qui ne demandent qu’à apprendre dans la bienveillance donc on respire et on arrête de critiquer, les académies font comme elles peuvent et au mieux. Alors vous et votre expérience aidez tous les nouveaux au lieu de leurs rendre la tâche difficile vous y gagneriez et nous aussi merci.

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      • Madame, de toute évidence vous ne connaissez pas ce « beau » métier. Les exigences en terme de temps de travail, de connaissance pédagogique sont telles qu’il y a de quoi faire fuir les meilleures volontés. D’ailleurs vous occultez un phénomène présent partout en France : la démission de nombreux profs malgré leur passion initiale pour ce métier.
        Avez vous pensé au dénigrement des parents, au changement continuel des programmes, à l’intégration dans les classes d’enfants qui devraient relever d’autres structures (ulis, IME, enfant ne parlant pas français, etc.).
        Avez vous une idée de la difficulté d’enseigner quand, en raison de l’instauration des cycles pour limiter les redoublements, un prof se retrouve avec un double ou triple niveau avec à l’intérieur de chaque niveau des différences telles que le professeur doit faire 4 ou 5 préparations différentes afin de prendre en compte les situation de chacun. Je vous donne un exemple réel : une classe de 27 élèves CE1 CE2 avec 1 enfant ne sachant pas du tout lire, un autiste et une petite Turc ne parlant pas français.
        Pensez ce que vous voulez, ce métier est extrêmement exigent et épuisant.
        Les rapports du ministère sur le temps de travail des professeurs des écoles fixe la moyenne à 45 h par semaine, voire plus. Sans compter les réunions qui se font sur le temps personnel, tout comme la rencontre avec les parents.
        Je suis tout a fait d’accord avec ce qui a été dit plus haut, il y a 30 ans, les places au concours étaient très chers, seuls les meilleurs, après 1 ans de formation en IUFM étaient recrutés. Après recrutement ils bénéficiaient d’une 2ème année en IUFM avec des stages en classe avec ou sans le prof titulaire.
        N’accusez donc pas les professeurs, les modes de recrutements ont évolué, et pas en bien. Ce sont des décisions politiques. Les enfants ont changé, les parents aussi. Il y avait du respect envers la profession, vous semble en avoir guère.
        J’ai été professeur des écoles et j’en suis parti. Ma femme l’est encore et je l’admire chaque jour d’avoir su garder la flamme malgré la difficulté.

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